UN MERLE CHANTAIT
LE MERLE NOIR
Sobre plumage, chant mélodieux. La forme révèle un merveilleux fond. Le merle se fond sous les buissons, Mais se distingue sur les toits. Lorsque le champ sonore est libre, tôt le matin, tard le soir, son chant domine. Ce petit être sombre illumine l'espace par sa voix. L'entendre c'est le voir, silencieux, il se fait plus discret.
Il écoute aussi, il marque des temps d'arrêts pour déceler ce qui grouille sous ses pattes. Son bec jaune chasse les feuilles, perforent l'humus, capturent les vers. Ses yeux entourés de jaunes, surveillent, espèrent anticiper la moindre menace. Gare aux chats! Son cri d'alarme sera sa réponse. Vole! N.R.
UNE RÉFÉRENCE ...
Merle, Clotilde Olyff
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